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Rencontre handicap / Actualité du handicap

Rencontre avec Anne Roumanoff, marraine du Téléthon : "Avant, les handicapés étaient invisibles..."

2010-12-03 12:52:17.875




Rencontrée en début de semaine au siège de France Télévisions, l'humoriste, qui est la marraine de cette 24e édition, était déjà dans les starting-blocks.





« Je ne vais pas arriver les mains dans les poches », confie-t-elle en préambule. Cette expérience est pour elle un saut dans l'inconnu. « Je sais que ce n'est pas un truc léger. Je suis consciente de l'importance du Téléthon. Il est vital pour les familles et les scientifiques. En trente heures, il faut trouver un an de budget. »





France-Soir. En quoi consiste votre statut de marraine ?



Anne Roumanoff. Je suis comme un témoin. Curieuse de nature, je vais poser des questions et aider à éclaircir quelques points scientifiques. Je me suis rendue au Généthon et j'ai par ailleurs réalisé trois reportages. Le premier auprès d'un chercheur qui a obtenu des résultats remarquables en thérapie cellulaire et génique sur des chiens aveugles et myopathes ; un autre sur les difficultés d'une jeune femme à se déplacer en fauteuil à Paris ; le troisième concerne Edgar, un petit garçon atteint d'une maladie qui le prive de la force de ses muscles.




F.-S. Qu'est-ce qui vous a étonnée chez ce garçon ?



A. R. Il a une énergie incroyable, il joue même au basket… (Très émue) Quand j'ai parlé avec sa mère et que je lui ai demandé comment elle tenait le coup, elle m'a répondu : « C'est l'amour. » C'est important de relayer cela. Le Téléthon, ce n'est pas juste « on donne de l'argent ». C'est quelque chose qui relie les gens. Dans cette société individualiste où chacun pense à sa gueule, c'est primordial. La puissance de l'amour peut faire bouger des montagnes.




F.-S. Que représente le Téléthon et doit-il continuer sous cette forme ?





A. R. Qu'il continue sous d'autres formes ? Ce n'est pas mon propos. Je ne dirige pas France Télévisions. Je trouverais dommage de l'arrêter pour de mauvaises raisons. Ce n'est pas une émission conçue pour faire de l'audience, on est sur le service public. Le Téléthon est ancré en profondeur dans le tissu associatif français. Il y a 5 millions de personnes qui vont donner, c'est énorme. Tous les progrès scientifiques peuvent bénéficier à toutes les maladies. Puis c'est surtout la fête des personnes en situation de handicap. Un rendez-vous qui fait changer le regard. Avant, les handicapés étaient invisibles.





Article original sur francesoir


Retour sur Rencontre-Handicap

Rencontre avec Mahaman Lawan Sériba à l'occasion de l'entrée des sportifs handicapés aux Jeux de la francophonie

2010-12-02 11:04:59.031



Les sportifs handicapés feront leur entrée lors des Jeux de la Francophonie (sport et culture) qui se tiendront à Nice en septembre 2013. Une 'bonne' nouvelle annoncée par son directeur, Mahaman Lawan Sériba !





Handicap.fr : Ces jeux de la Francophonie ont été initiés en 1989. Quelle est leur vocation ?




Mahaman Lawan Sériba : Organisés tous les quatre ans, ils rassemblent 3000 artistes et athlètes venus de 75 pays qui ont tous un lien très fort avec la francophonie. Ces Jeux impliquent aussi bien des compétitions sportives, sept au total, que des concours culturels, ainsi que deux activités de développement (création numérique et écologie). C'est l'occasion d'un immense rassemblement, avec des cérémonies dignes de celles des JO.




H : Pour la première fois des sportifs handicapés seront présents aux Jeux organisés à Nice en 2013. Dans quelles épreuves ?




MLS : Nous avons en effet décidé d'ouvrir les Jeux aux sportifs handicapés, hommes et femmes de 18 à 25 ans. Pour cette première, ils ne participeront que dans trois épreuves d'athlétisme. Le coup d'envoi de cette 7e édition sera donné le 6 septembre et devrait coïncider avec l'ouverture du stade olympique de Nice qui accueillera l'Euro 2014.




H : C'est assez peu. Pourquoi pas davantage ?



MLS : C'est une première. Nous voulons avant tout faire les choses bien et éviter le gigantisme. Mais, si l'expérience est concluante, nous comptons bien généraliser la présence des sportifs handicapés à l'avenir et dans d'autres disciplines.




H : Qu'est ce qui vous a incité à prendre une telle décision ?



MLS : Depuis 2005, c'était une demande très forte et récurrente de la part des associations de personnes handicapés mais également des nombreux Etats qui s'impliquent dans ces jeux.




H : Pourquoi a-t-il fallu attendre aussi longtemps pour que les personnes handicapées soient conviées à cette grande fête alors que les Jeux paralympiques, eux, existent depuis 1960 ?



MLS : Nous reconnaissons qu'il y avait un manque dans ce domaine, et que la prise de conscience a été un peu tardive. Mais contrairement aux Jeux olympiques, les Jeux de la Francophonie sont assez récents, une vingtaine d'années. Chaque chose en son temps. Notre priorité était d'inscrire cet évènement planétaire dans la durée. Ils sont désormais stabilisés, et c'est le succès de l'entreprise qui nous permet d'aller de l'avant et d'ouvrir d'autres portes. L'ouverture aux sportifs handicapés est actée, et nous devons maintenant travailler avec les associations pour mettre en place des partenariats et déterminer l'espace qui leur sera accordé.




H : Mais les Jeux de la Francophonie, c'est aussi une dimension culturelle. Comptez-vous également sur la présence d'artistes handicapés ?



MLS : Pas pour le moment car je vous avoue que, dans ce domaine, nous avons été rarement sollicités. Mais cette question mérite qu'on y réfléchisse.





H : Y aura-t-il également une place pour les sportifs en situation de handicap mental ?



MLS : Pas pour le moment. Je vais vous raconter une anecdote à ce sujet. J'accompagnais un sportif handicapé mental lors d'une compétition au Niger. En arrivant sur le terrain, il a disparu. Nous avons mis sept jours à le retrouver. Il en avait profité pour aller rendre visite à des parents. Je vous laisse imaginer mes sueurs froides. La prise en charge des personnes en situation de handicap mental demande un travail énorme en termes d'accompagnement. Il y a des demandes importantes de la part des associations mais, honnêtement, nous ne sommes pas prêts !




H : Ces Jeux sont regardés par plus de 50 millions de téléspectateurs à travers le monde, quel sera l'impact pour les personnes handicapées ?



MLS : Les temps forts sont en effet largement relégués à travers le monde. Et j'imagine tout à fait qu'une course de 400 m en fauteuil s'y inscrira pleinement. Et sera même très importante pour la diffusion de nos valeurs que sont « esprit de solidarité, de diversité et d'excellence ». Au même titre que les autres, les participants handicapés feront partie de la fête. A l'inverse de ce que l'on peut voir dans certains sports où les prouesses des handisportifs sont passées sous silence, chacune de nos médailles a la même valeur.





H : Pensez-vous que la présence de compétiteurs handicapés peut également un avoir un impact sur la prise en charge du handicap dans les différents Etats participants ?



MLS : Vous savez, il existe des fédérations proches de Handisport dans la majorité des pays francophones, pour certains encore embryonnaires et d'autres parfaitement structurés. Les pays africains sont souvent en retard et moins bien nantis en termes d'appareillage mais ça ne les empêche pas d'organiser des rencontres sportives adaptées.




H : Comment, par rapport à la France, situez-vous la prise en charge des personnes handicapées dans les autres pays ?



MLS : En Afrique, notamment, c'est complètement différent. En cas de handicaps très lourds, c'est souvent la famille qui assume. Dans certains pays touchés par la guerre ou les mines anti-personnelles, le handicap fait vraiment partie du quotidien. Les jeunes amputés, par exemple, investissent les terrains de foot, et ils sont si nombreux qu'ils n'ont pas de mal à former des équipes. C'est souvent un moment de fête et de grande euphorie, et pourtant ils sont loin d'avoir les mêmes avantages qu'en Europe.




H : Avez-vous des contacts avec la fédération française Handisport ?



MLS : Nous commençons à prendre des contacts, très encourageants. Puisque les Jeux 2013 auront lieu en France, nous aurons certainement besoin de leur expertise pour faire passer l'info, nous aider à l'organisation technique des épreuves et apporter de l'aide aux plus démunis, notamment en termes de matériel.




H : Vous étiez présent à l'enregistrement de l'émission la Magie du handisport qui sera diffusée le 3 décembre à 20h30 sur TV5 monde ? Qu'avez-vous ressenti devant ces images ?



MLS : J'y ai vu de l'émotion, du vécu, des sportifs engagés qui assument leur handicap et réalisent de fantastiques prouesses. C'est ce que je voudrais retrouver lors de nos Jeux. J'aimerais voir une telle intensité sur les visages. Il faut qu'à l'issue des Jeux de 2013, de telles images soient diffusées, que naisse cette expérience de la convivialité et du dépassement de soi. Au-delà des médailles, c'est ça l'esprit des Jeux de la Francophonie.




www.jeux.francophonie.org





Article original sur handicap.fr


Retour sur Rencontre-Handicap

L'association des paralysés de France lance son calendrier d'handicapés nus

2010-12-01 09:56:51.234




SENSIBILISATION - L'objectif est de changer le regard du public, et présenter le corps de manière positive...




Marquer les esprits en dénudant les corps. La formule, déjà éprouvée, a été reprise par l'Association des paralysés de France (APF) pour son calendrier 2011. La délégation des Hauts de Seine propose une galerie de photos de personnes handicapées nues, «pour faire prendre conscience à tous que le corps doit être un vecteur d'épanouissement et d'intégration et non une cause de mal-être et d'exclusion».



«Nous voulons changer le regard sur les personnes en situation de handicap», explique à 20minutes.fr Denis Meyer, à l'origine du projet. En plus du calendrier, une exposition se tient jusqu'au 9 décembre au Palais de la culture de Puteaux.



«Montrer le corps handicapé de façon brute»



Les modèles? «Des adhérents de l'association pour la plupart, d'autres venus par bouche à oreille», raconte Denis Meyer qui affirme que le projet a d'emblée remporté l'adhésion. Quant au regard des autres, celui qu'il s'agit de changer: «nous n'avons eu que des retours positifs pour le moment», affirme-t-il.



L'objectif d'Arno, qui a posé pour le calendrier, est de «montrer le corps handicapé de façon brute, sans se soucier des canons de la beauté académique, chimérique qui parcourt et cristallise une image falsifiée d'un corps standard.» Une démarche désintéressée, puisque, comme le précise Denis Meyer «les calendriers sont vendus à prix coutants».




Article original sur 20minutes


Retour sur Rencontre-Handicap

Un handicapé va parcourir 321 kilomètres en fauteuil électrique solaire

2010-11-30 09:50:41.406




Dans la région des Émirats Arabes Unis, on a plus l'habitude de croiser ce qui se fait de plus onéreux et surpuissant dans le domaine automobile. Mais on peut aussi y croiser de surprenants moyens de transport à l'instar de ce fauteuil roulant alimenté à l'énergie solaire. En plus son conducteur entend parcourir des centaines de kilomètres dans le désert afin de signer un “drôle” de record du monde.




321 kilomètres dans le désert et sur artères plus faciles de roulage, le tout en 11 jours à une vitesse moyenne de 12 km/h. Voici le nouvel objectif que vient de se fixer un certain Haidar Taleb.
L'homme, âgé de 47 ans, est handicapé depuis l'âge de quatre ans et circule depuis en fauteuil roulant suite à ce diagnostic confirmant qu'il était atteint de la polio. Haidar Taleb a conçu et construit lui-même ce prototype de fauteuil roulant solaire (panneaux photovoltaïques et quatre batteries de 20 kWh).




“Avec ce voyage, j'espère sensibiliser le grand public. Je compte aussi adresser un message fort aux personnes handicapées en leur montrant qu'avec courage, détermination et volonté, on peut surpasser tout type d'obstacles“, précise celui qui s'élancera prochainement à l'assaut de ce record du monde.
C'est qu'il compte bien effacer des tablettes son précédent record du même tonneau. Il parcourait en effet récemment 128 kilomètres en 14 heures à la vitesse moyenne de 19 km/h. Bonne chance pour ce périple 0 émission mais 100 % rayons de soleil.




Ses homologues handicapés résidant en Laponie (ou autres coins similaires…) planchent eux sur une solution alternative à l'énergie solaire (sic). Sinon il doit bien exister un moyen plus rapide pour se déplacer aux Émirats Arabes Unis, non ?






Article original sur gizmodo.fr


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