logo

Idylive : n°1 de la rencontre
handi-valide

Idylive : n°1 de la rencontre handi-valide

Chargement



Inscrivez-vous GRATUITEMENT !

Inscrivez-vous GRATUITEMENT !

Choisir ma photo
Etape suivante

Votre annonce personnelle

Votre annonce personnelle sera plus attrayante si vous évitez le langage SMS et soignez l’orthographe. Les liens commerciaux, ou toute information permettant de vous identifier seront supprimés.

GO !
Rencontre handicap / Actualité du handicap

Apple, Coca, Nike: «Une marque doit offrir un divertissement gratuit» - idylive -

2012-12-18 18:45:13.813

L'acteur Samuel L. Jackson vante les mérites de Siri, l'assistant vocal d'Apple, dans un spot publicitaire aux Etats-Unis. CAPTURE D'ECRAN/20MINUTES.FR MEDIAS – Internet a changé la manière dont le marketing et le divertissement s'adresse aux consommateurs et spectateurs. Pourquoi? Frank Rose, journaliste américain chez Wired de 1999 à 2010 et spécialisé en médias et technologie vient de publier en France Buzz (éditions Sonatine). Dans cet ouvrage, il explique comment Internet a changé le story-telling dans les industries du divertissement et linéaire. De la série «Lost» en passant par «Nike+», les franchises et marques invitent de plus en plus à participer et à s'immerger dans leur monde. Désormais des marques forgent leur identité avec les consommateurs. Pourquoi? Dans les écoles de marketing, on apprend qu'il faut contrôler l'image de la marque. Mais on ne peut plus contrôler le message grâce à Internet, par exemple sur les pages Facebook des marques. Donc on a plutôt intérêt à écouter ce que les gens en disent. Car ceux qui aiment une certaine marque en ont déjà une certaine opinion et y sont attachés, comme en témoigne l'échec de la nouvelle formule de Coca-Cola, le « New Coke », en 1985. Malgré Internet, certaines marques cherchent-elles toujours à contrôler leur image? Je cite dans mon livre l'exemple de Chevrolet avec ses modèles Tahoe. Dès 2006, le groupe avait invité les internautes à contribuer à l'identité de la marque en postant leurs propres vidéos. Certaines des vidéos se moquaient ouvertement du produit, considérant les SUV comme des périls pour l'environnement. Mais le groupe a été assez intelligent, en ne les censurant pas. De toute manière, ces personnes n'auraient pas acheté de Tahoe. Ce sera intéressant de voir les retombées du marketing « 2020 » adopté par Coca-Cola, c'est-à-dire moins centré sur la publicité mais sur le fait de s'adresser directement aux gens. Ainsi, ils ont mis à jour leur site Internet, conçu pour être un média à part entière. Comment une marque sur Internet peut-elle être partagée avec les gens? Les vidéos virales, par exemple. Mais il existe encore une division chez les publicitaires. Entre ceux qui pensent que c'est formidable qu'on parle de la marque et les autres qui estiment que c'est inutile si le message ne porte pas sur ses avantages. Pour les premiers, il ne faut pas être centré sur la marque mais sur le consommateur, en étant fun, participatif. Il y a aussi l'idée que la marque doit offrir un divertissement gratuit. A part les vidéos virales, quelles sont les méthodes? Autre exemple, Nike+, qui est une campagne de pub qui ne dit pas son nom. Courir est une activité très solitaire. Cette campagne en a fait un sport social. Et un outil pour mesurer ses performances, notamment en s'associant avec Apple. Vous citez Apple, pourtant cette entreprise tient à garder un contrôle absolu de l'image? Oui, c'est un paradoxe, Steve Jobs était un control freak. Mais si on regarde leurs pubs, elles sont divertissantes et montrent des gens s'amusant avec le produit. Avec la campagne de la silhouette pour l'iPod, Apple n'a pas martelé de message sur l'aspect technique. L'Apple store répond à l'idée que les produits sont hype et funs comme le concept du Genius Bar répond à une idée de gratuité. Et dans l'industrie du divertissement, comment le story-telling a évolué? C'est comme une crise du statut d'auteur. De la même manière que les marques veulent contrôler leur image, les auteurs veulent contrôler leur histoire. Mais les fans souhaitent vivre l'histoire d'une manière ou d'une autre. Ce qui aboutit à un conflit. Le public est attaché à des franchises comme «Mad Men», «Lost», «Dark Knight» ou «Le Seigneur des anneaux», car les récits sont bons. Ce que les spectateurs veulent, c'est aussi participer. Pour les marques et l'industrie du divertissement, pour les producteurs, il faut résoudre ce problème: avoir une histoire forte dont ils maitrisent le cours et la fin tout en laissant de l'espace pour les fans. http://www.facebook.com/Idylive Recueilli par Joël MétreauRetour sur Rencontre-Handicap

Julia Gillard annonce la fin du monde - Idylive -

2012-12-17 10:20:55.108

Julia Gillard, premier ministre et chef d'état de l'Australie, a confirmé les prédictions du calendrier maya : la fin du monde est proche.

Dans cette vidéo hilarante réalisée pour une station de radio australienne, Julia Gillard confie que “finalement, ce n'était pas le bug de l'an 2000 ni le prix des crédits carbone” qui ont conduit la planète à leur perte, c'est simplement le calendrier maya qui avait raison, le tout avant d'ajouter : “que le coup de grâce nous soit porté par des zombies mangeur d'hommes, des bêtes démoniaques tout droit sorties des enfers ou le succès phénoménal de la K-pop, je me battrai pour vous jusqu'à la fin.”

Chef d'état la plus cool du monde ? Carrément.

http://www.facebook.com/Idylive Retour sur Rencontre-Handicap

Tuerie de Newtown: Une institutrice a survécu en cachant 14 enfants aux toilettes

2012-12-15 10:59:21.188

Kaitlin Roig, une institutrice de 29 ans, a survécu à la tuerie de Newtown, le 14 décembre 2012 et se confie à ABC. DR ETATS-UNIS - Elle raconte le cauchemar à ABC... Ce sont les héros de la tragédie. Vendredi, le personnel de l'école primaire de Newtown a risqué sa vie pour mettre les enfants à l'abri. Certains ont péri, comme la principale de l'établissement. D'autres ont survécu, comme Kaitlin Roig, une institutrice de 29 ans, qui raconte à la chaîne ABC comment elle a caché 14 enfants aux toilettes. «J'ai entendu des tirs rapides, comme une arme automatique (…) et j'ai pensé ''On est la classe suivante''», raconte-t-elle. Elle a aussitôt emmené tous les enfants et les a fait rentrer aux toilettes, avant de barricader la porte avec une armoire. Elle leur a demandé de rester absolument silencieux. «Je ne sais pas s'il est venu dans la pièce. J'avais peur qu'il tire à travers la porte au moindre bruit», confie-t-elle. Rentrer pour Noël http://idylive.over-blog.com/ Les enfants voulaient juste «rentrer chez eux pour Noël» ou «faire un câlin à leur mère». «Je suis fort en karaté, ça va aller», a offert un jeune garçon. L'institutrice raconte comment elle a calmé ceux qui allaient se mettre à pleurer. «Je leur ai dit que tout allait bien se passer, que je les aimais. Je voulais qu'ils le sachent si jamais c'était la dernière chose qu'ils entendaient. Je ne pensais pas qu'on allait survivre.» Et puis les forces de l'ordre sont arrivées. Au début, elle ne les a pas crues et leur a demandé de glisser leur badge sous la porte. Avant de pouvoir quitter la scène du cauchemar. Vingt enfants et six adultes n'ont pas eu cette chance. Philippe Berry Retour sur Rencontre-Handicap

Suisse: Des étudiants tournent un film de zombies dans les sous-sols du Cern - Idylive -

2012-12-14 07:39:14.15

Appareil de recherches au Cern, à Genève, en octobre 2008 FABRICE COFFRINI AFP.COM

INSOLITE - Le film clandestin a déjà été visionné près de 100.000 fois sur Internet…

Des étudiants britanniques au Cern, l'organisation européenne pour la recherche nucléaire à Genève, ont tourné clandestinement un film d'horreur qui fait du bruit. Car le scénario se déroule dans les sous-sols du centre de recherche où est installé l'accélérateur de particules le plus puissant au monde. Près de 10.000 internautes ont déjà visionné la vidéo clandestine, mise en ligne mardi.

Au début du film, intitulé Decay, qui dure un peu plus d'une heure et quart, le spectateur est prévenu: «ce film n'a pas été autorisé ou approuvé par le Cern». Le centre n'a toutefois pas cherché à interdire sa diffusion. Dans le scénario inventé par les étudiants, l'accélérateur de particules émet des radiations qui transforment les humains en zombies. Les cinq personnages principaux cherchent à s'échapper du sous-sol du centre de recherche où les zombies les guettent.

«Nous ne savions pas que ce tournage avait eu lieu, car il n'y a eu aucune demande d'autorisation», a expliqué une porte-parole du Cern sur France Info, précisant que les scènes n'avaient «évidemment» pas été tournées «dans le tunnel du collisionneur, qui est hautement sécurisé». Un «collisionneur» ou accélérateur de particules, dont on avait beaucoup parlé lors de la quête du boson de Higgs. A.D.

http://www.20minutes.fr/insolite/1063955-suisse-etudiants-tournent-film-zombies-sous-sols-cern

http://idylive.over-blog.com/Retour sur Rencontre-Handicap

Page précédente     Page(s) : 1 ... 57 - 58 - 59 - 60 - 61 - 62 - 63 - 64 - 65 - 66 - 67 ... 164    Page suivante