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Rencontre handicap / Actualité du handicap

Poesie: Réussir une déclaration d'amour, comment faire ? - Idylive -

2012-11-29 07:36:42.953

Vous connaissez une fille ou un garçon et vous cherchez à lui faire une déclaration d'amour réussie. Vous vous demandez comment faire ou réussir à surprendre sa chère aimer et donc marquer le coup. Il existe plusieurs façons de faire une déclaration d'amour selon vos moyens et vos goûts. Voici quelques exemples et moyens pour faire une déclaration d'amour
Faire une déclaration d'amour durant un week-end en amoureux : Ces escapades sont généralement proposées par des agences spécialisées qui proposent donc des formules séduisantes pour se retrouver à deux en France, en Europe ou dans un pays exotique.
Depuis longtemps, Venise a toujours tenue le haut de l'affiche avec des forfaits qui comprenaient l'hôtel, les dîners aux chandelles, promenades en gondole, bouquets de fleurs… à partir de 1000 euros environ par couple. Cependant d'autres destinations sont aussi demandées comme une petite escapade en amoureux à Budapest, dans le désert marocain, un week-end à Paris (Mont martre, un dîner en bateaux mouche...)
Si vous n'aimez pas les escapades, vous pouvez choisir de faire votre déclaration d'amour tout simplement par une colombe blanche. Imaginez votre bien-aimée qui vague à ses occupations (au travail, maison..) et Paf, un beau oiseau surgit de nulle part pour lui délivrer un message d'amour, Pas romantique ça.
Louez un groupe de musique ou musicien qui viendra lui chantonner des belles balades sur le pied de sa fenêtre et toi à côté pour lui faire un baiser à distance. Cette methode très utilisée par les italiennes est bien connu en france.
D'autres idées pour faire une déclaration d'amour. Ecrire un message d'amour sur le ciel, faire une petite viré en montgolfière et lui écrire un message d'amour sur un toit d'une maison…
Pour ceux qui n'ont pas les moyens et qui veulent à coup sûr marquer le coup, il reste la surprise à domicile : Par exemple, faire venir un chef à domicile. Enfin dernière solution, Organisez un petit dîner surprise en amoureux à la maison en mettant le paquet c'est-à-dire, Pensez aux bougies, roses, faire son repas préféré, ne pas oubliez le cadeaux. Avec tout ça, je pense que votre déclaration sera réussie à coup sûr.

http://idylive.over-blog.com/article-poesie-reussir-une-declaration-d-amour-comment-faire---idylive--112941563.htmlRetour sur Rencontre-Handicap

Les plus belles injures en politique ! - Idylive -

2012-11-28 06:50:51.805


En ce moment, on n'entend parler que de la rivalité entre Copé et Fillon, mais les injures en politique ont toujours existé. Voici un petit florilège de mots pas très doux :

Les mots sont durs en politique et voici quelques injures qui ont fait date dans notre vie politique. La politique n'est pas un long fleuve tranquille, la preuve : la formule la plus célèbre de noms d'oiseaux est indiscutablement le fameux « Casse toi, pauvre, con » mais l'insulte en politique est presque devenu un art, au fil des années :

Victor Hugo n'hésitait pas à qualifier de façon cinglante Napoléon III de « Napoléon le petit »

Puis Charles de Gaulle qui n'a jamais ménagé, ni ses amis et encore moins ses ennemis « »La vieillesse est un naufrage. Pour que rien ne nous fût épargné, la vieillesse du maréchal Pétain allait s'identifier avec le naufrage de la France ». On est dans l'injure, mais c'était bien écrit et bien pensé, on sent une certaine trame littéraire au contraire des injures de comptoir qui vont suivre :

En 2010, un journaliste du Point demandait à Dominique de Villepin pourquoi il ne réglait pas directement son conflit avec Nicolas Sarkozy après l'affaire Clearstream et ce dernier répondit « Ma maman m'a toujours dit : on ne frappe pas les plus petits que soi » en réponse Sarkozy eut cette phrase célèbre »Une dissolution ratée, une législature ratée et un référendum perdu. Tu parles d'un CV ! C'est grande gueule et petites couilles »

Jacques Chiracn'avait pas été tendre aussi avec l'ancien Président de la République »J'aurais dû l'écraser en lui marchant dessus du pied gauche, ça m'aurait porté bonheur »

Ségolène Royal n'était pas très gentille avec François Bayrou en disant en 2007 alors qu'il avait refusé de lui apporter ses voix lors du deuxième tour de la présidentielle « Il m'a fait l'impression de l'amant qui craint la panne »

Lors de la campagne de 2012, les mots ont aussi été durs entre socialistes « La présidentielle, Hollande y pense en nous rasant »

Toutes ces injures sont tirées du Petit Dictionnaire des Injures Politiques de Bruno Fuligni, ouvrage très instructif et d'actualité. L'auteur devrait le réactualiser, en ce moment il y a vraiment de la matière !

http://idylive.over-blog.com/article-les-plus-belles-injures-en-politique-idylive-112906300.htmlRetour sur Rencontre-Handicap

Comment repérer un hoax sur Facebook - Idylive -

2012-11-27 09:57:33.008


Une fausse photo d'un plongeur dans le métro new-yorkais, qui a circulé lors du passage de l'ouragan Sandy. DR

WEB - Et éviter d'être la risée de ses amis en le partageant sans vérifier...

Les hoax et les canulars existaient bien avant que les tuyaux d'Internet ne permettent à 2,5 milliards de personnes connectées de partager une information en un clic sans même l'avoir lue jusqu'au bout. Le dernier cas en date: la déclaration de confidentialité Facebook copiée/collée par des millions d'internautes qui est évidemment un fake. Mais en 2012, il n'y a plus d'excuses pour tomber dans le panneau d'une pétition appelant à défendre la vie privée d'un enfant malade coincé au Nigeria sans argent.

Se méfier des appels à copier-coller et à partager

Il y avait la version «si vous n'envoyez pas ce mail à 10 personnes, Hotmail deviendra payant.» Aujourd'hui, on est plutôt dans les appels à partager sur Facebook ou à retweeter. Mais comme le rappelle HoaxSlayer.com, les contenus viraux authentiques se propagent en général par leur simple nature virale. «Quand il y a un appel explicite au partage», il s'agit le plus souvent d'un hoax, précise le site.

Vérifier avant de partager



Quelle est la différence entre la pétition «pour mettre fin à la pêche avec des chiens utilisés comme appâts» et celle pour «poursuivre en justice l'agresseur d'une jeune lesbienne de 23 ans»? Dans les deux cas, les images sont tellement choquantes qu'elles encouragent le partage compulsif. Mais la seconde fournit des liens vers des articles récents sérieux de Fox et CBS tandis que la première renvoie vers un billet obscur de 2005 sur une pratique rare et déjà interdite depuis longtemps à la Réunion. En général, un simple copier-coller dans Google des premiers mots du texte suffit pour être fixé. On peut aussi passer directement par des sites spécialisés (HoaxSlayer et Snopes pour les posts anglo-saxons, HoaxBuster et HoaxKiller en France). Ne pas oublier de vérifier l'authenticité des citations, même quand elles ont l'air crédibles, comme cette fausse perle de sagesse de Martin Luther King que tout le monde avait partagée lors de la mort de Ben Laden («Je pleure la perte de milliers de vies précieuses mais je ne me réjouirai jamais de la mort de personne, pas même d'un ennemi).

Image: fake ou pas fake?

On n'avait jamais vu autant d'images photoshopées partagées que lors de l'ouragan Sandy. Le requin qui nage dans les rues de New York? Fake. Le ciel tout noir au-dessus de la Statue de la liberté? Fake. Le plongeur? Fake. La station de métro d'Hoboken inondée? Authentique. Comment faire la différence? Souvent avec un peu de bon sens et en regardant l'image de près, notamment la lumière et les ombres. Mais là encore Google permet de faire le tri avec une fonction méconnue. En cliquant sur l'appareil photo à droite du champ de Google images, on peut faire une recherche en uploadant une image directement ou via son URL (obtenue par un clic droit, «copier l'adresse de l'image»). Cela retourne tous les sites ayant publié le cliché, et on obtient assez vite un verdict. On peut alors participer au spam collectif en étant le 134e à écrire «attention, ceci est un fake».

Philippe Berry

http://idylive.over-blog.com/article-comment-reperer-un-hoax-sur-facebook---idylive--112876945.htmlRetour sur Rencontre-Handicap

Frankenweenie (2012) - Idylive -

2012-11-24 08:49:37.46

Frankenweenie (2012)

Publié le 22 novembre 2012 par Cinephileamateur


De : Tim Burton.

Avec les voix en V.O. de : Charlie Tahan, Martin Short, Michael Keaton, Catherine O'Hara, Martin Landau, Winona Ryder...

Avec les voix en V.F. de : Henri Bungert, Pierre Tessier, Rafaèle Moutier, Kelly Marot, François Siener, Igor De Savitch, Tom Trouffier, Alexandre Nguyen, Gwenaël Sommier, Karine Foviau...

Genre : Animation - Comédie - Fantastique.

Origine : États-Unis.

Durée : 1 heure 27.

Date de sortie : 31 octobre 2012.

Synopsis : Après la mort soudaine de Sparky, son chien adoré, le jeune Victor fait appel au pouvoir de la science afin de ramener à la vie celui qui était aussi son meilleur ami. Il lui apporte au passage quelques modifications de son cru… Victor va tenter de cacher la créature qu'il a fabriquée mais lorsque Sparky s'échappe, ses copains de classe, ses professeurs et la ville tout entière vont apprendre que vouloir mettre la vie en laisse peut avoir quelques monstrueuses conséquences…

Bande annonce française

"Je voulais seulement que mon chien revienne."





Ayant fait un cycle Tim Burton il n'y à pas longtemps, aimant en général le travail de ce réalisateur et ayant plutôt trouvé son court métrage d'origine sympathique, c'est avec beaucoup de plaisir, d'attentes mais aussi un peu de craintes quand même que je me suis déplacé en salles pour voir "Frankenweenie" version longue.

Des craintes car j'aimais quand même plutôt bien le court métrage "Frankenweenie" même si tout n'était pas parfait et que j'avais du mal à voir ce petit film d'une demie heure passé le cap de l'heure et devenir un long métrage. J'avais un peu peur aussi que le côté animation (là où le film d'origine est filmé avec de vrais acteurs) fasse perdre un peu l'âme de ce film, qu'il perde un peu de sa magie et de sa poésie que j'aimais bien.

Mais fort heureusement, mes doutes ont vite disparu. Toujours avec un scénario écrit par Tim Burton (d'après le court métrage de ce dernier donc) mais aussi John August et Leonard Ripps, j'ai trouvé que cette relecture était assez intéressante. En effet, au delà de faire un simple copier-coller en étirant ses scènes au maximum, le long métrage nous permet d'avoir une nouvelle vision de cette intrigue sans pour autant en dénaturé son esprit. Cette nouvelle vision passe par la création de nouveaux personnages, de nouveaux lieux, de nouveaux discours avec aussi une fin quelque peu changé même si elle en garde les grandes lignes.

Force est de constater que j'ai trouvé ça plutôt bien fait. Du début jusqu'à la fin, j'ai été captivé par cette histoire que j'avais vraiment l'impression de redécouvrir même si le court métrage d'origine n'a eu de cesse d'être présent en moi durant ma projection. Avec beaucoup d'humour et très peu de temps mort, j'ai vraiment vécu une aventure passionnante qui malgré sa légèreté m'a beaucoup amusé. On retrouve toujours un peu la même profondeur dans l'intrigue avec la peur de l'inconnu même si ici c'est beaucoup moins présent mais on à un divertissement de qualité qui plaira à l'ensemble de la famille et où chacun y trouvera son plaisir.

L'une des forces de ce film, c'est aussi son côté hommage à un genre cinématographique que le réalisateur affectionne. Là encore, on est loin du copier-coller mais dans l'ambiance et dans certaines scènes, on repense forcément à certains vieux classiques du cinéma d'épouvante avec le même regard enfantin que le metteur en scène pouvait avoir pour ses différentes œuvres. Ce côté hommage et ses différents clins d'œils se font surtout ressentir vers la fin du long métrage je trouve, une fin par ailleurs que je trouve maitrisé même si elle m'a paru un peu moins "forte" que le court métrage d'origine.

D'ailleurs, si "Frankenweenie" souffre d'un handicap, c'est surtout celui de la comparaison je pense avec le court car même si les deux œuvres possèdent leur propre identité, j'ai vraiment eu beaucoup de mal à y faire abstraction. Le court métrage n'existant pas, le long aurait presque pu être parfait mais là, à force de le comparer inconsciemment, je pense que ça à jouer un peu en sa défaveur à mes yeux. Reste que paradoxalement, je trouve quand même le long métrage un peu plus réussi sur certains points et que j'ai pris autant de plaisir à découvrir ses deux œuvres que 28 ans séparent.

Le principal handicap du court métrage à mes yeux était la prestation un poil trop légère des comédiens je trouve. Ici, l'animation nous fait vite oublier une quelconque performance d'acteur avec en plus le bénéfice de vraiment bien coller à l'univers de cette intrigue. Pour la précision, n'aimant pas voir les films d'animations avec des sous titrages, c'est dans sa version française que j'ai découvert ce film donc c'est uniquement du doublage français que je vais parler.

Et ce doublage français, je l'ai bien aimé à commencer par celui de Henri Bungert qui prête sa voix à Victor Frankenstein. Je trouve que ce timbre de voix est particulièrement bien choisi. J'ai bien retrouvé l'innocence et la naïveté de ce personnage dans cette voix qui apporte pas mal de tendresse à notre héros. Le doubleur à bien su retranscrire l'amour qu'à son personnage pour son fidèle chien et lui donner vie d'une bien belle manière à mes yeux. C'est peut être même l'une des voix que je trouve le plus juste dans ses intonations.

Les autres voix ne sont pas mauvaises pour autant comme celle des parents Edward et Susan Frankenstein respectivement doublés en français par Pierre Tessier et Rafaèle Moutier. Je les ai trouvé plutôt attachant aussi vocalement et collant bien avec leurs personnages même si par moment j'ai quand même regretté que leurs personnages étaient un peu trop policé. J'ai cru à leurs rôles de parents c'est juste que par moment je trouve que vocalement il manquait parfois d'autorité, de charisme, ce qui en faisait un couple peut être un peu trop gentil (même si je ne voulais pas particulièrement de tyrans) vis à vis de leurs fils mais bon après sa vient surtout du scénario et ça n'a pas gâché mon visionnage non plus.

J'ai beaucoup aimé aussi la voix de Igor De Savitch dans le rôle de Monsieur Rzykruski. J'ai trouvé son timbre de voix parfait. Il accentue bien le côté hommage aux anciens films d'épouvante en plus avec un timbre sombre, légèrement angoissant qui rend son personnage encore plus mystérieux et du coup intéréssant. Lui aussi à bien su donner vie à son personnage tout en me faisant aimer les sciences et en me donnant envie de me retrouver dans sa classe :-) . C'est d'ailleurs un personnage qu'on voit assez peu malheureusement et c'est dommage car je pense qu'il aurait pu nous offrir d'autres scènes fort savoureuses.

Rien à redire de particulier sinon pour les autres voix françaises que je trouve bien choisies également. Le fait de ne pas avoir pris de grands noms (comme c'est souvent la mode dans les films d'animation) est une riche idée car cela nous permet de mieux nous identifier aux différents personnages sans pour autant les assimiler à un autre long métrage. Au passage, j'ai quand même bien aimé même si elle fait un peu cliché la voix de Alexandre Nguyen pour Toshiaki ainsi que celle de Karine Foviau dans l'excellent rôle de la fille bizarre au chat tout aussi étrange.

Concernant la version originale, je ne vais pas beaucoup en parler comme j'ai dit car j'ai vu le film en version française mais je trouve le casting plutôt classe. Pour le public anglophone, je sais pas si ça gêne ou pas d'avoir des voix célèbres mais ça reste une bonne distribution avec des fidèles de Tim Burton comme Martin Short ou Catherine O'Hara ainsi que trois autres personnes qui ont déjà travailler avec le metteur en scène et que je trouve très bien pensé pour ce genre d'univers à savoir Michael Keaton, Wynona Ryder et Martin Landau. Je ne cache pas mon plaisir non plus de ne pas retrouver pour une fois dans ce casting Johnny Depp et Helena Bonham Carter (même si j'apprécie ses deux acteurs) et qui me laisse croire que peut être le réalisateur va pouvoir se renouveler un peu dans ses distributions dans ses projets futurs (on verra bien ^^).

Côté mise en scène, j'ai trouvé le travail de Tim Burton brillant. Pourtant, on peut regretter parfois qu'il y à quelques courtes baisses de rythme mais dans l'ensemble le travail fourni et saisissant. A l'inverse de ses autres œuvres animés qu'il à soit produite soit réalisé, le côté kitsch qui donnait du charme à ses différents long métrage à disparu je trouve avec une animation plus fluide, moins saccadé. C'est pas forcément un défaut en soi car cela permet à "Frankenweenie" d'être très contemporain tout en respectant le côté "passé" qui dégage de ce film.

Ça apporte aussi une sensation de nouveauté avec un film qui possède alors sa propre identité visuelle et qui se dégage de ses ainés dans la filmographie de Tim Burton. J'ai en tout cas beaucoup aimé être emballé dans cet univers aux plans riches et variés dont certains passages sont même de véritable tableaux je trouve comme la scène finale, moins forte émotionnellement et visuellement que le court métrage mais qui n'en reste pas moins d'une beauté saisissante.

Il y à un très bon travail qui à été apporté à mes yeux sur la recherche des différents plans à utilisé et qui apportent beaucoup au film comme lors de la "naissance" des monstres qui en plus d'accentués le côté hommage et d'être assez drôle, sont aussi des scènes qui sont très bien mis en valeur. L'utilisation du noir et blanc et aussi une riche idée. Avec ce film, on voit qu'on peut encore utilisé ce procédé sans forcément faire "vieillot" et en donnant ainsi au film une profondeur et une certaine beauté utile pour l'intrigue. La nuance des différentes teintes apporte vraiment un plus et m'en à mis en tout cas plein la vue.

J'ai beaucoup aimé aussi les différents décors que je trouve très réussis et surtout très variés avec de nouveaux lieux que j'ai aimé découvrir presque autant que les nouveaux personnages très burtonnien dans leurs traits. Quant à la bande originale composée par Danny Elfman, je l'ai trouvé une nouvelle fois très belle et très agréable à entendre. Le compositeur est une nouvelle fois très complémentaire avec le réalisateur et les deux hommes nous offre ainsi un ensemble qui colle à la perfection et qui nous balade bien dans ce monde.

Pour résumé, "Frankenweenie" version longue est une excellente adaptation de la version court métrage. Tim Burton se réapproprie avec maestria sa propre œuvre et nous livre un divertissement de grande qualité même si comme le court, tout n'est pas parfait non plus. Si le court possède un chouïa plus de force émotionnelle et de poésie, paradoxalement j'ai quand même une petite préférence pour le long métrage qui semble nous donner une version vraiment abouti de cette intrigue avec un très bons casting dans le choix des doubleurs mais surtout une mise en scène incroyable qui m'a vraiment plu. Ce retour aux sources m'a paru bénéfique en tout cas pour le metteur en scène que j'affectionne toujours et dont j'espère repartira maintenant sur de nouvelles bases pour la suite de sa filmographie.

Ce que j'ai aimé :

Une nouvelle vision de cette histoire bien amené
Un très bon choix dans le casting vocal
Une animation vraiment bluffante
Les différentes nuances dans le noir et blanc qui sont parfaite
Un humour très plaisant
Une très belle musique de Danny Elfman
La découverte de nouveaux personnages et de nouveaux lieux
Un divertissement plus léger mais efficace


Ce que j'ai moins aimé :

Peut être moins de poésie que dans le court même si il y en à
Quelques courtes baisses de rythme
Inconsciemment, impossible pour moi d'oublier le court durant ma projection


Liens divers :

Tim Burton
Frankenweenie (1984)






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